PHILOSOPHIE

Publication

Notes sur la dimension personnelle relie trois problèmes philosophiques : la connaissance de soi, la formation des valeurs, la pérennité des œuvres d’art.
Ce que je suis, ce que nous sommes – notre dimension personnelle –, coïncide avec la formation des valeurs. Cela s’invente dans les œuvres, et se donne à lire dans les œuvres littéraires.
C’est une seule et même inconnue, qui échappe toujours à l’observation, car il n’y a pas de paradis duquel on puisse suivre ce qui se joue sur cette scène.
Mais l’interprétation des œuvres – celles qui semblent défier le temps – permet de formuler certaines des articulations à partir desquelles nous nous formons, et valorisons notre monde.

Notes sur la dimension personnelle est disponible sur le site Atramenta, en version papier et e-book, ou sur commande en librairie.


Réflexions sur les formes d’inspirations traditionnelles

Qu’est-ce que la mazurka? Une forme particulière de danse et de musique, qui connait depuis les années 1990 une évolution remarquable, tant pour sa partie musicale que pour ses manières d’être dansées. Son succès un peu partout en France, puis en Europe, en font un exemple privilégié de transmission et de renouvellement… SUITE… (ou fichier PDF à télécharger).

Nouvelles métamorphoses de la mazurka,

Danse emblématique de l’évolution contemporaine du bal folk, la mazurka a connu un tel succès auprès des danseurs et des musiciens, qu’elle donne aujourd’hui son nom, en Italie, aux événements improvisés, hors les murs des salles de danses : les danseurs, via les réseaux sociaux, se donnent rendez-vous pour une « mazurka clandestine ». La mazurka n’est pas la seule danse à avoir connu une évolution, et un enrichissement remarquable, c’est aussi le cas de la scottish et des valses asymétriques, mais elle est devenue l’emblème d’un renouveau des formes d’inspirations traditionnelles. SUITE


Une création des bals folk : la Gavotte dite « de l’Aven »

Inspirée par une forme traditionnelle, la Gavotte de l’Aven est une création des bals folk, au même titre que la mazurka, la scottish ou les valses asymétriques.
Il suffit de la danser, ou de la jouer quand on est musicien, dans un bal, pour ressentir une harmonie qui est le signe d’une personnalisation. Contrairement à une forme traditionnelle reprise approximativement, qui engendre du bruit et des mouvements désordonnés, une forme issue d’un processus d’inspiration traditionnelle se manifeste d’abord par un équilibre dynamique, qui lui permet tout à la fois de parvenir par moment à une relative perfection, et d’évoluer dans des directions différentes, selon les pratiques de la communauté des danseurs et des musiciens. SUITE